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Résumé: À l'Ouest rien de nouveau

Voici un résumé détaillé du roman d'Erich Maria Remarque À l'ouest rien de nouveau. Ce genre de résumés permet de comprendre la structure globale d'un long roman mais ne remplace en rien une lecture complète de l'ouvrage...


L’histoire commence dans la cuisine des soldats : comme 70 hommes sont morts au front, le cuisinier a beaucoup trop de vivres. Paul Baümer, le narrateur nous parle de ses camarades. Albert Kropp soldat de 1ère classe, Müller étudiant, Leer qui aime les femmes, tous âgés de 19 ans. Vient ensuite Tjaden le serrurier, Haie Westhus ouvrier, Detering le paysan et enfin Stanislas Katczinsky, 40 ans cordonnier. Kantorek était leur professeur et leur a fait un bourrage de crâne pour qu’ils soient volontaires à la guerre. Joseph Behm ne voulait pas et s’est fait tuer le premier. Ensuite, ils vont voir leur ami Franz Kemmerich à l’infirmerie : il s’est fait amputé la jambe. Müller voudrait emporter ses bottes car il sait qu’il va mourir. Le lendemain, lorsque Paul lui rendait visite, il meurt et cède ses bottes. Paul revient sur leur recrutement : 10 semaines s’instruction militaire puis dans la 9ème escouade avec le chef Himmeltoss. Celui-ci est dur, perfectionniste et en fait baver à ses élèves. Tjaden le déteste car comme il pissait au lit, Himmeltoss a inventé un procédé pour qu’il cesse. C’est pourquoi un soir ils se vengent.


Ensuite, Paul nous parle du front. Ils subissent un premier bombardement et une des recrues est terrorisée. Detering ne supporte pas que des chevaux soient blessés. Dans un cimetière, un autre bombardement éclate. Paul se met dans un entonnoir et trouve un mort. Kat lui dit qu’il y a des gaz et il est chargé d’avertir les autres. Puis, le bombardement s’arrête et ils trouvent une recrue blessée à la hanche. Ils veulent le tuer pour mettre fin à ses souffrances. Il y a 5 morts et 8 blessés. Tjaden se dispute avec Himmelstoss et reçoit 3 jours de salle de police. Ils repensent à leur professeur Kantorek et se demandent ce qu’ils feront quand ils reviendront chez eux. Kat et Paul se font rôtir une oie volée. Puis, ils vont en 1ère ligne. Dans les tranchées, les rats mangent tout. Un bombardement éclate, une recrue à une crise, les Français tentent un assaut mais ils réussissent une contre-attaque. Ils restent dans un coin pendant quelques jours sans pouvoir aller chercher les blessés. Lors d’une attaque, Paul trouve Himmelstoss feignant d’être blessé et il l’oblige à revenir pour combattre. Haie meurt, l’échine brisée.


Puis vient la relève : la 2ème compagnie n’est plus composée que de 32 hommes. Ils font la paix avec Himmelstoss. Tous les soldats sont fascinés par une affiche de théâtre représentant une jeune fille. Alors qu’ils nagent dans un lac, ils voient 3 jeunes femmes : elles les invitent le soir. Ils passent la nuit ensemble puis rentrent. Paul obtient une permission de 15 jours. Il arrive à son village et retrouve sa mère malade d’un cancer. Tout le monde lui pose des questions sur la guerre et Paul s’aperçoit qu’il ne se sent plus ici chez lui : il a grandi trop vite. À la caserne, il voit son ancien professeur Kantorek. Puis, il va voir la mère de Kemmerich pour lui annoncer que son fils est mort. Il est obligé de lui mentir : il n’est pas mort sur le coup. Puis vient l’heure du départ, il retourne aux baraquements. Il y trouve des prisonniers russes qui demandent l’aumône. Enfin, il revoit ses amis. Le kaiser leur rend visite. Ils parlent de la guerre et de ses raisons. Puis vient l’heure de retourner au front.


Ils voient des soldats déchiquetés par des mines. Alors qu’il fait une patrouille de nuit, Paul est saisi de frayeur et se met dans un entonnoir. Lors d’une attaque, il poignarde un soldat français. Mais il regrette et tente de le sauver. Puis il meurt. Il s’appelait Gérard Duval, il avait une femme et une fille et était typographe. Paul arrive à retrouver sa tranchée. Puis, nos héros sont affectés dans un village bombardé. Pendant 23 jours, ils passent leur temps à manger. Paul et Albert sont blessés à la jambe lors d’un bombardement surprise. Ils sont transportés dans une clinique où ils sont opérés. Puis, ils prennent le train pour aller dans une maison. Mais Albert a de la fièvre et doit partir. Pour rester ensemble, Paul fait semblant d’en avoir aussi. Ils sont soignés dans un hôpital catholique. Ils sont 8 hommes dans une chambre. Albert a la jambe amputée et veut se suicider. Au bout d’un certain temps, Paul peut marcher avec des béquilles. Enfin, il peut partir en permission de convalescence.


Lorsqu’il revient en 1ère ligne, Detering s’échappe et l’on n’entend plus parler de lui. Müller meurt d’un coup dans le ventre. Leer d’un éclat d’obus dans la hanche. Le temps passe. En automne 1918, Kat est blessé au tibia et Paul le transporte sur son dos jusqu’à l’infirmerie. Mais arrivé, il constate qu’il a été tué d’un éclat d’obus dans la tête. Il se retrouve seul. Il a une permission car il a avalé un peu de gaz. À la fin, un narrateur nous apprend qu’il est mort un jour où « à l’ouest, rien de nouveau ».


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